Les gens sur Twitter...
Différents!
Les vrais, les fake
Les beaux, leurs mots
Les fous, les rigolos
Les sexto
Qui s’lèvent tôt
Les doux, les hargneux,
Les laineux !
Les ‘J’t’aime pas... moi non plus !
Les J’tadore, j’en veux plus !
Et puis y’a ceux
qui ont compris ...
Oui !
@Maxou_LaMenace
Et pas de parasols, et à midi en plein cagnard avec huile d’olive et citron parce que……
… Ça bronzait mieux…
Et 2 paquets de clopes par jour…
Et aujourd’hui tous ces boomers affolés par les dermatos…
J’avais laissé passer le temps…
Je viens d’apprendre la mort d’une de mes meilleures amies,
Je ne peux me pardonner de n’avoir pris de ses nouvelles à temps,
N’ayez pas peur de déranger, inquiétez vous des gens tant qu’ils sont vivants .
😢
@Maxou_LaMenace
Ouais!
Au resto tu mangeais la tête dans le cendrier, en avion tu pouvais pas respirer tant y’avait de fumée, et on était contents d’étouffer l’enfant dans la bagnole vitres fermées !
Bon ! Malgré tout ça,en pleine forme et l’enfant fumeur a pardonné
😄
Twitter, c’est drôl’ment bien, quand même
T’es tout vieux, toute moche, tout tordu
Trois p’tits mots, ni vu ni connu
Et y’a plein d’gens qui t’aiiiiiiiment !
J’ai pas envie d’y retourner
En Intensifs et en Réa
Tout Juillet j’y étais
En respirant dans un tuba
Mon anniv « Essoufflée »
Les bougies fondant en sanglots
Alors mes amis SVP
Faites moi ce cadeau
Ne m’y faites pas retourner
Dans ce mouroir dans cet hosto
Je ne peux m’empêcher de rigoler lorsque je lis ces femmes antivax clamer...
Je ne veux pas qu’on me mette dans le corps quelque chose qui n’a pas été testé un certain nombre d’années, et que je ne connais pas .
Ah! Et leur première fois ?
😳😂
Je ne comprends pas les gens qui ne postent que des citations.
Tant belles soient elles!
N’avez vous pas un peu d’imagination ?
Il vaut mieux écrire maladroitement, avec des fautes éventuellement, mais avec ses mots, à soi.
Ç’est plus doux !
Aujourd’hui encore, elle ne verra personne,
la petite vieille à l’esprit égaré,
Elle surveille la porte et le téléphone,
au cas où un être cher se
souviendrait,
qu’elle est là, qu’elle est toute seule,
qu’elle va finir par en crever !
Un tas d’abonnés m’ont semée !
Mes idées déplairaisent elles?
Vous savez je n’suis pas née
Avec un collier de dentelle,
Celles et ceux qui m’ont rayée,
Je m’en moque mon escarcelle,
Est pleine de gens sensés
Qui rient de mes facéties.
1/
La poésie, cet art,
j’ai cru l’avoir effleurée
au fil de mes grimoires,
dés cet été de Juillet.
730 jours plus tard,
j’hésite à vous le confesser,
bizarre, mon souffle s’égare,
ma plume devenue fleuret
ne trace dans le noir
que des mots anémiés.
On croit tourner la page définitivement,
On ne peut s’empêcher d’un doigt mouillé, tremblant,
de relire en arrière,
vérifier, aurait-on omis
une ligne, un point d’espoir ?
qui, notre vie, amère,
aurait pu tout changer.
J’ai ouvert ma fenêtre...
L’air m’a respirée !
M’a dit, tu verras peut-être,
si tu te sens bien, je t’offrirai
une belle journée...
J’ai remis du parfum,
On ne sait jamais ?
La nuit vient de tomber,
Sans même me prévenir,
Mais quelle lâcheté!
Mon rire s’est étranglé !
Dans les liens de Morphée,
Emblème de mes délires,
Quand mes nuits falsifiées
Au pire me condamnaient...
L’insomnie, ce vampire,
Que mon sang fascinait.
Chez moi, personne pour me dire Bonjour !
Alors, vous pouvez imaginer comme je suis heureuse chaque matin de vous retrouver quand vous me dites
Bonjour Dany ! Bonne journée !
À tous les gentils qui auraient envie de me connaître intimement
Je vous avertis
Je suis très vieille, très moche, très méchante
Et même bête, très souvent !!!
Noël en famille !
Pourquoi prendre tous ces risques?
N’y a t’il pas d’autres journées durant l’année pour prouver sa tendresse ?
Serait ce pour se donner bonne conscience, à grands renforts de cadeaux ?
L’amour c’est tous les jours,
Discrètement.
L’amitié, c’est pas habiter le même quartier, se ruiner dans les mêmes restos, dépenser pour des pensées chez Truffaut,
Non, l’amitié ç’est quand t’as mal au dos, qu’on te dit, appuie toi sur moi, je suis là .
Ça, ç’est beau !
A trop vouloir pousser la ligne d’horizon,
A tellement chercher plus loin d’autres saisons,
A penser que l’Ailleurs est promesses à foison,
On y laisse son bonheur et sans doute sa raison.
J’en ai marre d’entendre comment on doit boire, manger, aimer..
Assez de toute cette conformité !
Ma vie, je l’ai un peu malmenée ,
J’ai souvent brouillé les cartes,
ne me suis pas économisée
Et ne regrette rien
Intensément, vivez !!!!!
La sensualité ne s’enseigne pas,
c’est s’effleurer sans se toucher,
des mots caressés par la voix,
se deviner sans se regarder,
un souffle que l’on retient,
une bouche, une main,
une peau qui glisse,
une âme dans un interstice .
Hier j’ai voulu vous quitter, trop d’énoncés dénoncés.
Trop de ronces à mes rosiers.
Trop de honte pour les désaxés.
Et puis j’ai humé des pensées,
peu dispendieuses humbles et vexées,
d’un pétale m’ont expliqué
qu’un seul mot aimable vaut dix mille contrariétés.
Je suis restée
Ceux et celles qui postent de belles citations sans nommer l’auteur, qui n’écrivent jamais rien de leur coeur, trop facile !!!
Il vaut mieux écrire maladroitement mais exprimer ses sentiments.
Vous êtes des usurpateurs, voulez voler la place du soleil pour briller sur Twitter !
La vieillesse est un naufrage...
Mais par dignité,
Par coquetterie dirais-je ?
Les signaux de détresse,
Ceux des rires caquetés,
Les vieux sages qui savent nager,
Préfèrent en mer se noyer
Plutôt que d’échouer.
Les mots qu’on tait
Les mots qu’on tue,
Les mots à bouche que veux tu,
Les mots hurlant en leur silence
Les lents espoirs de la nuit,
Les mots expirant leur souffrance
De n’avoir pas été écrits.
Mais moi mes mots, moitié oiseaux
S’envolent et toisent les bigots.
Au paradis des morts j’ai préféré l’enfer
Des vivants en sueur des seins sans blancs suaires
Trop tard ma vie s’endort mais qu’est-ce que ça peut faire
Dans le vent des erreurs dans le gris des poussières
J’ai fait rêver des cœurs et de ça je suis fière
Les ombres se confondent
seul l’œil de la clarté lunaire
en cet été de deuils
de clameurs qui grondent éclaire mon souffle moribond.
C’était mon jour anniversaire !!
D’ou suis je revenue ?
Août m’a fait tomber des nues
Doux de venir vous chatouiller avec mes rimes de 8 pieds!
Dis moi dis moi que j’écris bien
Que tous ces mots c’est pas pour rien
Que quand tu me lis le matin
Même s’il fait un temps de chien
T’as des étoiles dans les yeux
Et que tu te recouches heureux
Les poètes sont infidèles,
Tels des papillons blessés,
S’égarent sur les âmes de celles
Qui pilleraient pour les soigner.
Les poètes sont obscènes,
Nous font croire que ç’est l’été,
Alors que dehors il grêle
Tout ça pour mieux nous flatter.
Les poètes, je les aime ..
1/2
Je vais m’éloigner, pour toujours ou pour quelque temps, je remercie ceux qui ont aimé mes écrits impertinents.
Personne ne m’y a obligé à l’insu de mon plein gré.
J’ai ri avec vous, je ne voudrais pas à avoir à en pleurer.
Vient l’automne et l’été dépité
fait l’aumône de bleus électrisés.
La rage des éclairs, l’ardeur des ondées,
ne m’engagent guère à pouvoir rêver,
Le roux et le vert entachent mes baisers,
Et tout cet hiver, j’ai peur de pleurer
sur cet an d’enfer qui m’a épuisée.
Certains hommes cachent un coeur si romanesque que l’on a peur qu’une fleur les blesse,
Qu’un mot les égratigne,
Alors on n’ose certaines caresses ...
On signe sur leur peau de nos désirs l’adresse,
En prose, pas en vers, les rimes sont traîtresses.
Les femmes se plaignent de ce que leur font subir les hommes, mais sont prêtes à souffrir le martyr en s’injectant du Botox pour leur plaire.
Allez comprendre !
Au sablier du temps qui s’écoule à l’envers
Je préfère l’instant même s’il est éphémère
Déshabiller le vent en faire un courant d’air
Et tant qu’on est vivant aimer jusqu’à se plaire
L’aube à Paris est différente,
Bruyante!
Pas de roses sur la mer, pas de lavandes déprimées,
Du vent!
Des feuilles jaunes chahutant le cimetière,
Des gens!
Passant devant ma fenêtre..
J’ai froid.
Ç’est vrai,
Le cimetière est face à moi !
Je viens de bloquer et signaler un sacré taré,
Alba tros! Serge ! Ou Phil soi disant Tessier!
On m’avait prévenue, j’ai fait l’innocente, l’ai laissé parler,
Ça n’a pas loupé, une vidéo porno m’a envoyée !
Amies poétesses, ne soyez pas aussi naïves, il n’est pas le seul pervers
J'écris les yeux fermés, pour ne pas avoir à lire ce que mes mots ont osé.
J'écris le cœur ouvert, afin que tu puisses voir l'espace que je t'ai laissé.
J'écris comme on envoie une bouteille à la mer, dans l'espoir que les abysses ne seront pas trop salées.
Je tenais à vous remercier, vous, ces gens que je ne connais, d’avoir subi sans broncher, pendant presque une année, mes rimes un peu alambiquées.
Et même, vous les avez aimées ..
Vous avez embelli ma vie et son fatras vous dit merci .
Tiens ! Je viens de découvrir qu’un soi disant fidèle ami m’a bloquée..
Surprise !!!!
Alors que je voulais le féliciter pour ses poèmes d’amour envers sa dulcinée !
😳
Comme souvent il me le demandait!
Et moi, l’idiote, par gentillesse , j’obtempèrais ...
J’aime jongler avec les mots
Les démodés, les faux jumeaux
J’aime jouer de leurs trémolos
Maudissant leur Moderato.
Les mots éthérés des homos
Les mots austères des hétéros
Les mots maussades des héros,
Rien ne me gêne, j’aime les mots,
Surtout les doux de tes propos.
Catapultée sur Twitter il y a 5 ans en balbutiant,
j'ai avoué mes erreurs, souvent rimées maladroitement.
J'ai pû décevoir par des propos binaires et je dis merci à celles et ceux qui m'ont offert un peu de leur cœur en ce Juillet anniversaire.
Viens mon amour , viens vite me dire qu’avant moi c’était pas ça, qu’après moi n’existera pas, que me cheveux sont de soie, que même chauve tu m’aimeras,que mon sourire même édenté te fera toujours à ma pudeur attenter!
Dis moi tout ça mais vite vite,
Que je te croie ....
Qui a engrossé la lune quand elle est pleine
Hein !
Vous ne vous êtes jamais posé la question?
Qui est le géniteur des milliards d’étoiles
Hein !
C’est Dieu ou le livreur d’illusions ?
Qui a arrosé les roses à l’aube quand il fait beau pour les faire scintiller de rosée
Hein !
Au lieu de regretter ce que nous ne possédons plus,
De s’acharner à recréer des plaisirs révolus,
Soyons heureux des petits peu et faisons les grandir.
Il faut se méfier des fées.
Des fois leurs contes sont falsifiés,
Des Princes de Reims aux reins coincés,
Des Reines inertes au teint défait,
Rivaux, des anges ébouriffés
s’arrangent pour défier vos souhaits !
Existent elles, en fait, les fées ?
Je voulais vous le demander...
Hier j’ai vu la mer qui se trémoussait,
En douce, pendant que le vent s’inventait
Des kyrielles de vers, des poèmes qui gloussent,
Des tonnelles d’arcs en ciel, des sirènes sinistrées !
Et puis la mer, sans s’irriter, s’est retirée.